Cette étude a été diffusée en juin 2018
Le fameux "no zob in job" qui déconseille les relations intimes avec des collègues est-il suivi à la lettre dans les entreprises françaises ? Sans aller jusqu'à la relation sexuelle - bien qu'un Français sur six déclare y avoir succombé -, le lieu de travail est à l'évidence propice aux fantasmes et à la séduction. Une réalité mise en évidence par l'étude de l'IFOP lancée à la demande de Flashs et du site Online Seduction. Cette enquête montre en effet qu'entre collègues, l'attirance est chose courante et peut déboucher sur une aventure extra-conjugale, voire sur une rupture pour se mettre en couple avec la personne rencontrée au bureau ou à l'usine.
Fantasmes, séduction et passage à l'acte
Un quart des salariés interrogés dit ainsi avoir joué au jeu de la séduction avec un(e) collègue de travail. Plus nombreux sont celles et ceux qui reconnaissent avoir déjà fantasmé sur un(e) collègue puisque près de la moitié des personnes interrogées ont répondu par l'affirmative à cette question. Fantasmes qui concernent plus les hommes (53%) que les femmes (30%). Mais s'il est propice à des relations "cachées", le lieu de travail est également un terreau fertile pour des relations plus durables : 14% des Français indiquent ainsi avoir rencontré leur partenaire actuel dans le cadre professionnel.
Les chiffres clés
26% des Français en couple se sont déjà livrés à un jeu de séduction avec un(e) collègue de travail
16% déclarent avoir déjà eu une aventure extra-conjugale avec un(e) collègue
33% des personnes ayant eu une aventure avec un(e) collègue ont eu une relation sexuelle sur leur lieu de travail
14% des Français en couple ont rencontré leur partenaire dans le cadre professionnel
11% des personnes actives et en couple ont déjà rompu avec leur partenaire pour se mettre en couple avec quelqu’un rencontré dans le cadre professionnel
Sur cette même thématique, vous pouvez par ailleurs consulter les résultats de l'enquête dédiée au rapport des Françaises à la séduction.
Cette campagne a fait l’objet de 46 reprises dans les médias. Parmi ceux-ci :
Le rapport complet de cette étude est disponible sur le site de l’IFOP.
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